UNIKIN/Fac. Sciences/Dép. Sciences de la Terre/Géologie Première Licence/Litshani Makambo
Il y a un proverbe français qui dit : « qui a bu, boira ». Aujourd’hui,
j’ai vite compris que l’utilisateur de l’expression a beaucoup réfléchi
avant cet emploi. Il a donc eu du temps pour faire des observations. Car,
on ne peut dire ‘’tel ou tel comportement’’ sied mal que si l’on prend le
temps d’observation.
En géologie, je me rappelle encore le parallélisme entre le pli
parallèle et le pli semblable. La différence réside au niveau de l’épaisseur
des couches. Pour le premier (pli isopaque), l’épaisseur des couches reste
constante dans tout le pli tandis que pour le suivant (pli anisopaque),
l’épaisseur des couches varie.
Il est vrai que le monde évolue, et continue à évoluer, personne ne
l’ignore. Chose grave, bien que le monde avance mieux par de nouvelles
technologies et autres, mais le cœur de l’homme reste invariable. Voilà la
différence qui existe entre le monde tout entier et le cœur de l’homme.
L’expression ‘’celui qui a bu, boira’’ n’est pas à prendre à la légère
puisque c’est une grande extension. Le ‘’celui qui’’ désigne énorme fait,
mais il est tributaire du verbe utilisé ainsi que du complément d’objet
direct ou indirect, parfois aussi du complément circonstanciel, ça peut
arriver, et même de l’attribut du sujet (celui qui…). S’il faut aller plus
loin, on commence par un celui qui… jusqu’à n celui qui…
Tel c’est le cas de celui qui a mangé, mangera toujours ; celui qui a
pratiqué, pratiquera toujours, celui qui a gagné, gagnera toujours, celui
qui a fait, fera toujours, jusqu’à celui qui a vu d’abord son propre intérêt
en discutant les opinions publiques, il le verra toujours, sinon celui qui a
déjà tué, il tuera toujours. Kie kie kie kie !
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Je vous ai fait une belle page remarque et reproche, pour la suivre,
vous pouvez cliquer ici. On commence toujours par un reproche, si la
personne commet encore la même bêtise, dans ce cas on lui fait une
remarque. La personne peut commettre tant d’erreurs ou gaffes, si ces
erreurs sont toutes différentes, on ne lui fait que des reproches. Faire un
reproche, c’est faire voir à quelqu’un la bêtise ou l’erreur qu’il a
commise, ou qu’il va commettant pour la première fois, ce fait est suivi
d’un conseil.
Même s’il a déjà fait ça plusieurs fois, quand on n’est pas au courant,
on se dit que c’est pour la première fois. On doit lui reprocher. Cela
revient à dire que la personne ne se rendait pas compte de sa stupidité.
Celle-ci s’éveille par des gens pour aider la personne coupable de savoir
ce qu’il a fait, ou qu’il va faisant.
Si la personne commet une erreur ou bêtise qu’il a déjà commise, ou
qu’il continue à commettre, tant d’erreurs ou bêtises identiques, on lui
fait une remarque puisqu’on on lui avait déjà fait un reproche lors de
cette action commise la fois passée, mais il continue. Cela revient à dire
qu’il le fait exprès.
Ici, la personne coupable se rend compte de sa stupidité, mais il le
fait sciemment. Faire une remarque, c’est rappeler à quelqu’un l’erreur
ou bêtise qu’il a commise, ou qu’il continue à commettre pour la
deuxième fois ou plus, ce fait est suivi aussi d’un conseil, mais un conseil
réprimandant. On sait très bien qu’il connaît ça, et il va le reconnaissant,
voire il va le reconnaître.
Encore en Géologie, je me rappelle une notion importante du
manteau enrichi. Celui-ci a deux parties dont le manteau inférieur sans
modification (appauvrissement) et qui constitue le manteau originel
profond, ainsi que le manteau asthénosphérique pouvant être à son tour
enrichi de deux manières.
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Au niveau de la lithosphère dense et très incorporée dans le
manteau supérieure, ce qui n’est pas le cas ici, et au niveau d’une zone
de subduction, ce qui en est le cas, où les roches sédimentaires issues de
l’érosion et riches en éléments incompatibles peuvent être réinjectés dans
le manteau et participer à sa chimie. D’où, on parle de manteau
métasomatisé puisqu’il s’agit des fluides qui interviennent dans le
transport de ces éléments (le CO2 par exemple).
Retenez que dans le cœur de l’homme, il y a aussi le fluide qui
intervient dans le transport des éléments, c’est le sang.
Le cœur de l’homme est tellement compliqué, les différents faits y
sont si ancrés. C’est un organe thoracique, creux et musculaire, de forme
ovoïde, moteur central de la circulation du sang. Cela revient à dire qu’il
est constitué du sang. Tout le monde connaît bien le sang.
En titre de rappel, le sang est un liquide rouge qui circule dans les
veines, les artères, le cœur (ce qui nous concerne ici) et les capillaires, et
qui irrigue tous les tissus de l’organisme, auxquels il apporte éléments
nutritifs et oxygène et dont il recueille les déchets vers les organes qui les
éliminent (reins, poumons, peau).
M’enfin, la circulation du sang dans le cœur humain dépend d‘une
personne à une autre. C’est pour ça il y a des récidivistes, et des gens qui
ne commettent une bêtise qu’une fois seulement grâce à petit conseil
quelconque.
On peut prodiguer conseil à celui qui veut aller, mais pas à celui qui
revient. Car, celui qui a bu, boira. Celui dont quelqu’un lui a fait du mal,
il n’a pas confiance, car il fera toujours. C’est pourquoi le monde évolue,
mais le cœur de l’homme n’évolue pas.
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