Jean Claude Van Damme

 

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Jean-Claude Van Damme

acteur de cinéma, réalisateur et producteur belge

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Jean-Claude Van Damme, né le 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, une commune de Bruxelles en Belgique, est un acteurréalisateurproducteur de cinéma et pratiquant d'arts martiaux belge.

Jean-Claude Van Damme

Description de cette image, également commentée ci-après

Jean-Claude Van Damme à l'avant-première du film The Expendables 2 en 2012.

Nom de naissanceJean-Claude Camille François Van Vaerenbergh

SurnomJCVD
The Muscles from Brussels
(Les muscles de Bruxelles)

Naissance18 octobre 1960 (61 ans)
Berchem-Sainte-Agathe (BruxellesBelgique)

NationalitéDrapeau de la Belgique Belge

ProfessionActeurproducteur et réalisateur

Films notablesVoir filmographie

Site internetjcvdworld.com

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Après s'être exercé intensivement aux arts martiaux dès l'âge de dix ans, il connaît le succès national en Belgique comme lutteur et culturiste, remportant le titre de « Mister Belgium » en 1978.

En 1982, il émigre aux États-Unis afin de poursuivre une carrière au cinéma, connaissant le succès avec le film Bloodsport (1988) qui, pour un budget d'un million et demi de dollars en rapporte soixante-cinq dans le monde. Van Damme atteint alors les sommets au box-office, notamment avec ses rôles dans Universal Soldier (1992) et Timecop (1994), qui à eux deux rapporteront plus de deux cent millions de dollars de recettes et feront de lui l'un des acteurs vedettes du cinéma d'action des années 1990.

Après une période de difficultés personnelles et de succès déclinant, au cours de laquelle son image publique est écornée du fait de ses multiples déclarations perçues comme absurdes (particulièrement à la télévision française), Jean-Claude Van Damme s'oriente à partir de la fin des années 2000 vers des rôles plus personnels bénéficiant d'un bon accueil critique, notamment avec son rôle semi-autobiographique dans le film JCVD (2008).

Jean-Claude Van Damme est souvent désigné par ses simples initiales JCVD ou, aux États-Unis, comme « The Muscles from Brussels » (« Les Muscles de Bruxelles »)[note 1].

 

Biographie

Jeunesse

Jean-Claude Van Vaerenbergh, qui prendra plus tard pour nom de scène Jean-Claude Van Damme, naît le 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, une commune de Bruxelles en Belgique. Il est le fils d'Eugène et d'Éliana Van Vaerenbergh[1],[2],[3].

Il se lance dans les arts martiaux à l'âge de dix ans au sein d'une école de karaté[4]. Son style de combat se compose de karaté Shotokan et de kickboxing[5]. Il obtient sa ceinture noire en karaté[Quand ?]. Il se lance ensuite dans le culturisme, désireux de développer sa musculature, ce qui lui vaut par la suite le titre de Mr. Belgium en 1978 en culturisme[6],[7]. À l'âge de seize ans, il arrête la danse classique qu'il a pratiquée pendant cinq ans[8]. Selon lui, la danse classique « est un art, mais c'est aussi l'un des sports les plus difficiles. Si vous pouvez survivre à un entraînement de danse classique, vous pouvez survivre à l'entraînement de n'importe quel autre sport »[9].

Le rêve américain

En 1975, Jean-Claude Van Vaerenbergh rencontre Abdel Qissi, un boxeur belgo-marocain qui le présente à son frère Mohamed, également passionné d'arts martiaux. Jean-Claude et Mohamed développent une forte amitié et partagent le désir commun de devenir acteurs aux États-Unis. Abdel présente également Jean-Claude à l'homme d'affaires Paul Van Damme. Ce dernier lui permet de devenir le mannequin officiel de Pierre Alexandre, un magazine de vêtements masculins, dans lequel Jean-Claude sera photographié en position de combat. La popularité du cliché va faire germer dans son esprit le désir de devenir acteur dans des films d'arts martiaux[10],[11].

En 1982, avec trois mille dollars en poche[12] et sans grande connaissance de l'anglais, qu'il aurait appris par la suite en regardant Les Pierrafeu[13],[14], Jean-Claude Van Vaerenbergh part avec Mohamed Qissi à Los Angeles « à la conquête d'Hollywood ». Les deux amis rencontrent des difficultés pour percer. Pendant plusieurs années, Jean-Claude enchaîne des petits boulots[8], tels que livreur de pizzas, videur de boîte de nuit ou encore poseur de moquette, mais aussi entraîneur personnel et chauffeur de limousine[15] ; ce dernier travail lui permet de faire des rencontres potentiellement fructueuses.

Durant cette période, il fait la connaissance de Chuck Norris et Lou Ferrigno, et décroche quelques rôles au cinéma. Il fait une brève apparition, dans le rôle d'un karatéka homosexuel dans Monaco Forever[16],[17], un film resté inachevé qui ne sera distribué que plusieurs années après, une fois Van Damme devenu célèbre.

En 1985, il obtient son premier rôle important dans le film Le Tigre rouge de Corey Yuen, en interprétant le rôle du méchant, un karatéka russe. C'est à cette occasion que Jean-Claude Van Vaerenbergh change son nom en « Van Damme »[réf. nécessaire]. Lors du tournage du film, quelques problèmes surviennent lors des cascades, lorsque Van Damme touche accidentellement les autres cascadeurs en leur portant des coups[18],[19].

Il joue par la suite dans L'Arme absolue, interprétant à nouveau le rôle du méchant — cette fois un agent soviétique — face au héros joué par Sho Kosugi. Il est ensuite engagé pour prêter sa silhouette au Predator dans le film homonyme, mais quitte l'équipe de cette production les jours suivants (il se serait plaint d'étouffer dans le costume, et de n'apparaître à l'image que sous un masque, en outre l'équipe de production a réalisé qu'un acteur plus imposant était nécessaire pour rendre la créature menaçante face à un groupe de soldats d'élite joués par Arnold SchwarzeneggerJesse VenturaCarl WeathersBill Duke ou encore Sonny Landham) ; le rôle du Predator est repris par Kevin Peter Hall[20],[21].

Quelques mois plus tard, il provoque la rencontre qui va lancer sa carrière en allant au-devant du producteur Menahem Golan à la sortie d'un restaurant et en lui faisant une démonstration d'arts martiaux sur l'aire de stationnement. Menahem Golan lui propose de jouer dans Bloodsport qui sera un succès international (et donnera naissance à plusieurs suites sans Van Damme). Un procès l'opposera à Frank Dux[22], dont il joue le rôle dans le film.

Le personnage Johnny Cage du jeu vidéo Mortal Kombat est inspiré du personnage de Frank Dux dans ce film. Johnny Cage est habillé (y compris les chaussures) comme Van Damme dans le combat final du film, et un des coups spéciaux de Johnny Cage provient du combat entre Frank Dux et le sumo dans le film. La société de jeu vidéo Midway, n'ayant pu obtenir les droits du film pour le jeu, a fait de Johnny Cage une star de cinéma pour l'histoire du personnage, et a adapté le concept de kumite en « kombat »[note 2].

Succès mondiaux, échecs et films à petits budgets

En 1988, Jean-Claude Van Damme joue dans Cyborg d'Albert Pyun et, en 1989, dans Kickboxer de Mark DiSalle. Viennent ensuite en 1990 Full Contact (Lionheart), sous la direction de Sheldon Lettich ainsi que Coups pour coups (Death warrant) de Deran Sarafian (tourné avant mais sorti après Full Contact).

Ses films ayant tous rapporté beaucoup d'argent au box-office, il collabore de nouveau avec Sheldon Lettich, avec un budget supérieur. Pour Double Impact, Van Damme joue pour la première fois un double rôle (une prouesse qu'il réitérera par la suite dans Risque maximum et Replicant), interprétant deux frères jumeaux, face à Bolo Yeung qui était déjà son principal adversaire dans Bloodsport ; le public est au rendez-vous et le film est un succès.

Mario Kassar (Carolco) signe avec lui pour le film Universal Soldier de Roland Emmerich qui sort en 1992, partageant l'affiche avec Dolph Lundgren. Van Damme touche son premier million, pour un budget de 23 millions de dollars ; le film va en rapporter cinq fois plus à travers le monde et devient à l'époque son plus grand succès au box-office.

Jean-Claude Van Damme et Darcy LaPier (en) au festival de Cannes 1993[23].

Les cachets de l'acteur montent alors en flèche.[précision nécessaire] Cavale sans issue (Nowhere To Run) de Robert Harmon (1993), est un franc succès en Europe, avec notamment un million de spectateurs en France, mais les fans apprécient moins ce nouveau genre, montrant un Van Damme plus dramatique et délaissant les arts martiaux. Il enchaîne avec Chasse à l'homme (Hard Target) de John Woo (1993), premier film américain du réalisateur chinois (et devenant un tremplin pour les autres réalisateurs asiatiques voulant percer aux États-Unis[pas clair]), et renouvellera le genre avec Ringo Lam et Tsui Hark.[pas clair] L'action est au rendez vous, mais John Woo est contraint par les producteurs de couper au montage vingt minutes du film, jugées trop violentes pour la classification R, permettant ainsi aux mineurs de moins de 17 ans de pouvoir voir le film. Le film connait un succès relatif. Vient ensuite Timecop de Peter Hyams, un film de science-fiction basé sur le voyage dans le temps, qui rencontre en 1994 son plus grand succès aux États-Unis.

L'acteur est alors au sommet de sa gloire, ne subissant aucun échec. Il devient l'un des acteurs d'arts-martiaux les plus populaires et un des acteurs les mieux payés au monde, avec un cachet de huit millions de dollars pour Street Fighter : L'ultime combat (1994) de Steven E. de Souza ; le film est descendu par la critique et les fans du jeu vidéo Street Fighter II dont le film est l'adaptation, cependant le succès est au rendez-vous.

Van Damme plonge alors dans la drogue, devenant dépendant à la cocaïne. Il avouera avoir refusé à cette période une offre de la part des studios Universal pour une série de trois films avec un cachet de 12 millions de dollars par film, au motif que Jim Carrey touchait alors 20 millions par film. Il aurait en conséquence été placé sur liste noire par les principaux studios de production.[réf. nécessaire] Entre-temps il a signé pour Mort Subite (Sudden Death) de Peter Hyams qui, sorti en salle fin 1995, lui vaudra sa première déception, le film ne rapportant que 64 millions dans le monde pour un budget de 35 millions. Pensant pouvoir revenir avec un projet qu'il a en tête depuis des années et qui lui tient à cœur, il réalise en 1996 son premier film, Le Grand Tournoi, dont il est également scénariste et producteur en plus d'être l'acteur principal, mais le film ne remporte pas le succès escompté. Il tourne la même année Risque maximum de Ringo Lam, un semi-succès, et enchaîne avec Double Team de Tsui Hark en 1997, qui s'avère un échec cuisant.

Sa consommation de drogue augmente en 1998 ; il réussit tant bien que mal à tourner dans un état second Piège à Hong Kong, toujours avec Tsui Hark ; ce dernier profite de son état pour l'humilier afin de se venger[pourquoi ?] de Double Team en ne le filmant pas à son avantage.[réf. nécessaire] Le film sort la même année que Légionnaire de Peter MacDonald ; ces deux films sont des échecs.

Universal Soldier : Le Combat absolu, sorti en 1999, est un nouveau fiasco, ce qui conduit à faire sortir Inferno de John G. Avildsen directement en DTV (Direct-to-video) la même année. Van Damme fait alors une pause et soigne ses addictions. C'est à cette occasion qu'il reçoit un diagnostic de trouble bipolaire[24],[25].

En 2001, il revient en pleine forme avec Replicant de Ringo Lam, mais à nouveau le film sort directement en DVD, malgré la popularité intacte de l'acteur en Europe. Le film est un échec, avec seulement 100 000 entrées en salles, mais bénéficie de meilleures critiques que les précédents[26].

Lors de la promotion de ce film en France, il se fait davantage remarquer par son comportement que par le contenu de celui-ci : c'est en effet à cette période qu'il apparaît fréquemment dans des entretiens à la télévision ou à la radio en tenant des propos jugés décousus, absurdes et involontairement comiques[27], dans son franglais idiosyncrasique, abordant spontanément les thèmes les plus divers (les femmes, les chiens, la religion, la drogue, sa capacité à casser des noix avec ses fesses...), avec une insistance particulière sur les questions de spiritualité et de développement personnel (en particulier une tirade dans laquelle il emploie à plusieurs reprises la formule « être aware », laquelle devient dès lors associée à son image publique en France).

Affecté par les railleries et l'exploitation qui est faite de ces séquences dans certaines émissions à caractère humoristique, rejaillissant sur ses enfants (ce sera un des thèmes de JCVD), l'acteur devient de plus en plus réticent à accorder des entretiens en français, craignant d'être de nouveau piégé par sa spontanéité comme par le cynisme des médias de masse, toujours en quête de pittoresque sans se soucier des répercussions dans le réel. Il expliquera par la suite avoir tenté de communiquer des bribes de sagesse, péniblement acquises par son expérience comme par ses erreurs, auprès de jeunes gens peu éduqués rêvant de réussir comme lui-même autrefois, mais avoir dû composer avec les contraintes temporelles de la télévision, avec ses difficultés à s'exprimer correctement en français (langue qu'il pratique désormais rarement), le tout combiné avec les effets du jet lag, aboutissant à son élocution parfois maladroite.

En juillet 2001, il lance sa ligne de vêtements, « Damage7 », vendue uniquement chez Harrods à Londres.

À partir du début des années 2000, Van Damme apparaît dans un grand nombre de films « direct-to-video » à l'intérêt mineur : The Order de Sheldon Lettich (2001) ; Point d'impact (Derailed) (2002) de Bob Misiorowski ; il tourne encore avec Ringo Lam dans In Hell (2003) qui sera son plus grand succès en location aux États-Unis ; L'empreinte de la mort (Wake Of Death) de Philippe Martinez (2004) ; Ultime Menace (2006) ; The Hard Corps (2006) ; Jusqu'à la mort (Until Death) (2007) de Simon Fellows ; Trafic mortel (The Shepherd) (2008) d'Isaac Florentine ; Universal Soldier : Régénération (2009) ; Assassination Games (2011), Six Bullets (2012), Welcome to the Jungle (2013), Enemies closer (2013) et Pound of Flesh (2015).

Retour au cinéma

 

Jean-Claude Van Damme, lors de la promotion de Jusqu'à la mort en 2007.

 

Jean-Claude Van Damme sur le tournage de JCVD en 2007.

Jean-Claude Van Damme continue cependant d'apparaître au cinéma, notamment en France, avec L'Empreinte de la mort qui fait l'objet d'une sortie limitée, mais ce n'est qu'en 2008 qu'il fait son grand retour dans les salles françaises avec JCVD de Mabrouk El Mechri. Le film fait l'objet d'une sortie limitée aux États-Unis, cependant il reçoit des critiques très positives de la part du Los Angeles Times.

L'histoire de JCVD, film à mi-chemin entre fiction et réalité, se base sur la carrière et sur la personnalité de l'acteur. Bien que les critiques reconnaissent que Van Damme y déploie de vrais talents d'acteur, le public ne suit pas, et JCVD doit se contenter d'environ 165 000 spectateurs, ce qui est très peu au regard de la large promotion télévisuelle dont le film a bénéficié. Malgré une offre de la Twentieth Century Fox, Van Damme refuse d'apparaitre dans la suite de Street Fighter, notamment pour se consacrer à JCVD. Le film de la Fox sera alors remanié pour devenir Street Fighter: Legend of Chun-Li. Juste après, il auto-produit et réalise Frenchy. Le tournage a lieu en Thaïlande en 2008. La postproduction est chaotique et il préfère ainsi refuser un rôle proposé par Sylvester Stallone dans Expendables : Unité spéciale. Son film, qui change plusieurs fois de titres (Soldiers, The Eagle Path, Full Love) peine à trouver un distributeur et reste inédit[28],[29].

Le 5 octobre 2011, il est à Grozny lors de la luxueuse fête du trente-cinquième anniversaire du président tchétchène Ramzan Kadyrov, qui l'a invité (ainsi qu'Hilary Swank ou Vanessa-Mae)[30]. La présence de ces têtes d'affiche crée la polémique, au regard des exactions commises par Kadyrov[31].

En 2011, il est la voix de maître Croc dans Kung Fu Panda 2[32].

À l'été 2012, pour la première fois depuis treize ans[réf. nécessaire], il réapparaît dans les salles de cinéma aux États-Unis avec Expendables 2 : Unité spéciale[33]. C'est également pour lui l'occasion de tourner un film avec Chuck Norris (bien que les deux acteurs n'apparaissent pas ensemble à l'écran). Le film engendre plus de 300 millions $ au box-office, ce qui en fait le film le plus rentable de la série. Au Festival de Cannes 2013[34], il annonce être à la tête d'un projet de série télévisée réalisée à Dubaï. Cette série, Luxury Meets Justice[35], est produite par Fashion TV, et se composera de deux saisons, comportant chacune un film-pilote, et 12 épisodes.

En 2016, il double à nouveau la voix de maître Croc dans Kung Fu Panda 3[32] ; le film rencontre un énorme succès.

En 2017, Il est le personnage principal dans la série Jean-Claude Van Johnson diffusée sur Prime Video.

En 2018, il revient dans la franchise Kickboxer avec Kickboxer : L'Héritage, sorti en DTV. Il apparaît ensuite aux côtés de Dolph Lundgren dans le film Black Water également sorti en DTV. Toujours en 2018, il revient au cinéma avec le drame Lukas.

En 2019, lors d'une interview pour la sortie remastérisée de Kickboxer, il annonce qu'il reviendra aux côtés de son fils Kris Van Damme dans le film The Tower qui sortira en 2020[réf. souhaitée].

Le 30 juillet 2021, il est à l'affiche du film Le Dernier Mercenaire, qui sort en exclusivité sur Netflix[36].

Vie privée

En 1986, Jean-Claude Van Damme épouse la culturiste Gladys Portugues (en) ; ils ont deux enfants : Kristopher (1987)[37],[38] et Bianca (1990) ; ils divorcent en 1993. Il se remarie l'année suivante avec Darcy Lapier (en) qui lui donne un fils, Nicholas (1995) ; ils divorcent en 1997. En 1999, Gladys Portugues et JCVD se marient à nouveau[39].

En 2007, il révèle au magazine Empire sa liaison avec la chanteuse Kylie Minogue durant le tournage de Street Fighter[40].

 

Combats de karaté semi-contact

 

Controverse

 

Filmographie

 

Jeux vidéo

 

Autres apparitions

 

Voix françaises

 

Hommages et distinctions

 

Notes et références

 

Voir aussi

Dernière modification il y a 9 minutes par Sergio1006.

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