Le G7 ne trouve pas d’inconvénient que le prochain Premier ministre qui sera nommé à la suite de l’accord du 31 décembre soit issu de l’UDPS, parti de l’opposant historique Etienne Tshisekedi.
« Nous acceptons que l’UDPS puisse nous proposer un candidat Premier ministre », a déclaré samedi 7 janvier Pierre Lumbi, président de ce regroupement de partis qui ont quitté la majorité en 2015 et rejoint l’opposition.
L’accord du 31 décembre prévoit que le prochain Premier ministre soit issu du Rassemblement de l’opposition, plateforme dont l’UDPS, le G7 ainsi que d’autres formations politiques font partie.
Pierre Lumbi reconnaît que le Rassemblement de l’opposition ne s’est pas encore prononcé officiellement sur la personnalité qui devra occuper les fonctions de Premier ministre.
« Je sais qu’il y a un certain nombre de camarades qui se sont déjà prononcés sur cette question de la Primature. Mais le Rassemblement n’a pas encore levé une option », note-t-il, ajoutant que le prochain Premier ministre doit être issu d’«un parti solide qui le porte».
« Nous espérons que tous les amis comprendront que nous avons intérêt à ce qu’un Premier ministre sorte d’un parti fort. Et le premier de ces partis, c’est l’UDPS », soutient le président du G7.
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